Il y a un peu plus d’un an, Stéphane Bern avait révélé être en difficulté financière depuis qu’il a fait l’acquisition du collège royal et militaire de Thiron-Gardais, en 2012. Un point qu’il a tenu à clarifier dans les colonnes du Parisien.
Stéphane Bern
Stéphane Bern est l’un des animateurs préférés des Français. Chaque année, il se retrouve dans le peleton de tête, aux côtés de Nagui ou encore Michel Cymes. Mais ce n’est pas pour autant qu’il roule sur l’or ! Comme l’avait expliqué le proche ami de Brigitte Macron, il a fait l’acquisition en 2012 du collège royal et militaire de Thiron-Gardais. Un bien immobilier qui fait sa fierté, mais qui s’avère aussi être un véritable gouffre financier. S’il a coûté 300 000 euros à l’achat, il nécessite près de 4 millions d’euros de travaux. Une somme colossale, que l’animateur de 56 ans n’a pas en sa possession. « Évidemment, j’ai hypothéqué mon appartement et emprunté sur plus de vingt-cinq ans. Si je suis très objectif avec moi-même, je suis ruiné, mais fier ! », avait-il donc expliqué dans les colonnes de Télé-Loisirs. Mais face à l’inquiétude de certains de ses fans, l’ancien compagnon de Lionel a tenu à clarifier les choses : malgré ce qu’il a pu dire il y a quelques mois, il n’est pas tout à fait sur la paille.
Stéphane Bern fait le point sur sa situation financière
Interrogé par Le Parisien, Stéphane Bern a démenti l’information selon laquelle il serait sans le sou. « Ce n’est pas exactement ce que j’ai dit mais c’est vrai que tout mon argent y passe, mes droits d’auteur, l’argent des émissions. Ici c’est un peu le tonneau des Danaïdes. Mais je ne veux faire pleurer personne« , a précisé l’animateur de Secrets d’Histoire. D’ailleurs, si ce projet lui a coûté une véritable fortune, il ne compte pas faire de retour sur investissement. En effet c’est à sa Fondation qu’il léguera le bien s’il lui arrive un jour malheur. Son but ? Rendre le collège royal et militaire de Thiron-Gardais accessible au plus grand nombre. Un rêve encore inachevé pour le Monsieur Patrimoine d’Emmanuel Macron qui, grâce à cet investissement, a le sentiment « non pas d’avoir réussi dans la vie mais d’avoir réussi (sa) vie. »
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